Samir Skalli, issu de la promotion de 85 de l’Académie
des Beaux-arts de Liège Lambert Lombard, et salué par les jurés, a ouvert son
cabinet en 1993, où il officie toujours. Cette date marque l’essor fulgurant de
son étincelante carrière.
D’abord, peu après ses études, jusqu’à 1987,
il collabora avec de nombreux architectes, Néerlandais, Français et Marocains.
Maisons individuelles et bâtiments publics en Belgique ; immeubles, villas
et unité industrielle à Casablanca : premiers projets auxquels il prit
part.
De 1988 à 1991, il travailla dans l'agence
urbaine de Casablanca où il fut responsable du suivi au département de la
gestion urbaine. Il y présidait plusieurs commissions techniques préfectorales,
de Sidi Bernoussi, Aïn Chock, Anfa, entre autres.
L’année suivante, ses expertises se multiplient ;
il opère des études approfondies sur le percé de la Mosquée Hassan II, dont il
a suivi les travaux ; sur le pôle urbain de Nouaceur, sur la zone
balnéaire de Dar Bouâzza, sur les opérations Ouled Saleh, Lissasfa et Nassim.
Depuis que Samir Skalli s’est mis à exercer en
privé, ses projets de construction d’immeubles se comptent par soixantaine, à
Casablanca, Rabat et Marrakech, et même à Safi : formidable efficacité. Il créa
notamment des commissariats et des arrondissements de police, un laboratoire d’analyse
de l’eau, des logements militaires, un show-room de voitures, une centrale
logistique, un hôpital provincial.
Ce n’est pas tout. Il réalisa des projets de
construction d’une vingtaine de villas au moins, dans différentes villes du
pays.
A l’heure actuelle, il entreprend l’aménagement
de plusieurs agences bancaires à Casablanca et Rabat, et établit des projets de
construction d’un laboratoire, d’ateliers de maintenance, et surtout, d’un
complexe d’habitation gigantesque comprenant 900 appartements et un parc d’attraction.